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10.09-03.12.2024 Seminaire_ Dignités peripheriques: Praxis radicales.

Séminaire du LPM e du GRM

Informations pratiques :

  • Modalité : en ligne (Meet ou Zoom)
  • Horaire : mardi, de 12h30 à 14h00 (heure de Brasília)
  • Toutes les deux semaines, début le 10.09.2024
  • Durée du premier cycle : du 10 septembre 2024 au 3 décembre 2024
  • Inscriptions via formulaire : https://forms.gle/cKhFx3n6d9ws1JDK6
  • Les inscrits auront accès à une salle de classe virtuelle (Google) avec des matériels préparatoires et des mises à jour.
  • NB : Un certificat sera délivré sur la base de la participation, attestée par la signature des feuilles de présence lors de chaque session.
  • Contact : lpm.ufes@gmail.com ; marco.bazzan@ufes.br
  • Langues de communication : portugais, espagnol, italien

Objectifs du premier cycle :

  1. Définir des catégories adéquates pour réfléchir aux pratiques radicales dans des contextes périphériques dans les domaines des Sciences Humaines et Sociales, des Arts et des Lettres.
  2. Relater des expériences de pratiques radicales dans des contextes périphériques, dans les domaines de l’éducation populaire et du genre, ainsi que l’enseignement de la Philosophie, des Arts et des Lettres dans les périphéries de Valparaíso (Chili), Vitória (ES-Brésil) et Ferrara (Italie).
  3. Promouvoir des perspectives croisées sur l’éducation populaire, l’éducation de genre et l’enseignement de la Philosophie, des Lettres et des Arts dans des contextes périphériques entre le Brésil, le Chili et l’Italie.

Calendrier :

1ère séance : 10.09.2024
Marco Rampazzo Bazzan :
Réflexions sur les pratiques radicales à partir de Paulo Freire

2e séance : 24.09.2024
Pamela Soto Garcia :
Genre, biopolitique et création : École d’éducation non-sexiste pour les femmes et processus de réintégration éducative

3e séance : 08.10.2024
Marco Rampazzo Bazzan :
Sur la catégorie de “l’inédit viable” à partir de Paulo Freire

4e séance : 22.10.2024
Pamela Soto Garcia :
Trajectoires éducatives et institution politique

5e séance : 05.11.2024
(à définir)

6e séance : 19.11.2024
(à définir)

Parution: Transizione in questione : dialettica, struttura, differenza (2024)

Sous la direction de

Anna Pia Ruoppo, Université de Naples Federico II
https://orcid.org/0000-0001-6185-0576
Marco Rampazzo Bazzan, Université Fédérale de l’Espírito Santo (UFES)
https://orcid.org/0000-0003-1194-8289
Fabrizio Carlino, Groupe de recherches matérialistes (Paris)
https://orcid.org/0000-0001-7034-6566
Irene Viparelli, École des Sciences Sociales de l’Université d’Évora
https://orcid.org/0000-0003-3162-5647

Éditeur : FedOA – Federico II University Press

Collection : École des Sciences Humaines et Sociales. Cahiers
Date de publication : 15.07.2023
Pages : 293
Langue : italien
Page de l’éditeur : http://www.fedoabooks.unina.it/index.php/fedoapress/catalog/book/564
Pour visualiser/lire, CLIQUEZ ICI

Résumé :
Transizione in questione. Dialettica, struttura, differenza met en dialogue des perspectives théoriques qui, à partir de points de vue parfois très hétérogènes, se sont confrontées de manière critique avec la problématique marxienne du lien entre transition et révolution prolétarienne, soit pour en prendre définitivement ses distances, soit pour repenser ses catégories fondamentales. Le volume offre ainsi un panorama des différentes reconfigurations du thème de la transition – transition comme destin de l’être, comme événement, comme utopie, comme idéologie, comme positionnement théorique, comme ontologie constituante – interrogeant les multiples trajectoires d’un concept qui, ayant survécu à la « crise du marxisme », a investi de nouvelles thématiques (transition numérique, écologique) et s’est enraciné au cœur de la contemporanéité.

Présentation du Laboratório Interdisciplinar de Estudos e Pesquisas Materialistas (LPM)

 

Présentation du LPM

Le Laboratoire Interdisciplinaire de Recherches et d’Études Matérialistes (LPM) est officiellement, depuis avril 2023, un laboratoire du Centre des Sciences Humaines et Naturelles (CCHN) de l’Université Fédérale de l’Espírito Santo (UFES). Le LPM regroupe des étudiants de premier, second et troisième cycle ainsi que des chercheurs en sciences humaines de l’UFES et d’autres institutions nationales et internationales, en collaboration avec des acteurs culturels, politiques et sociaux au Brésil et à l’étranger (Chili et Italie). Basé à l’UFES, le LPM s’intègre et renforce le réseau international du Groupe de Recherches Matérialistes (GRM), en développant une série d’activités d’enseignement, de recherche et d’engagement vis-á-vis de la société.

L’horizon de recherche du LPM est déterminé par la conscience que nous vivons une transition épocale, c’est-à-dire un « nouveau temps du monde » (ARANTES), ce qui constitue un grand « défi » (WALLERSTEIN) et est comparable à la « période seuil » (Sattelzeit) qui a ouvert la modernité (KOSELLECK). Notre époque est caractérisée par des crises et des transformations profondes qui remettent en question les fondements de nos sociétés ainsi que la pertinence des catégories héritées de la modernité (CASTORIADIS). Sur cette base, le projet vise à étudier notre époque comme une transition sous trois axes fondamentaux : les Sémantiques (KOSELLECK), les Imaginaires (CASTORIADIS, ALTHUSSER) et les Pratiques sociales (MARX, FREIRE), en promouvant la construction de ponts entre la recherche académique en philosophie, d’une part, et l’éducation populaire ainsi que les mémoires et pratiques sociales dans les périphéries des régions métropolitaines de Grande Vitória (ES), Valparaíso (Chili) et Naples (Italie), d’autre part.

Le LPM a été formalisé une première fois en tant que projet enregistré sur le portail d’extensão de l’UFES (https://projetos.ufes.br/#/projetos/2410/informacoes), actif depuis le 7 avril 2021 et approuvé par la Chambre d’extension de l’UFES en juin 2022. Son mérite en matière d’extension repose sur le rôle central des étudiants dans l’élaboration et le développement de ses actions, d’une part, et sur les partenariats avec des communautés extra-académiques, d’autre part.

Conformément au Plan d’internationalisation de l’UFES (2018), l’objectif stratégique principal est la « Consolidation des partenariats et des réseaux internationaux existants et création de nouveaux partenariats et projets de coopération en recherche, enseignement et engament vis-á-vis de la sociéte ».

Dans cette perspective, pour le LPM, l’engagement vis-á-vis de la société et l’internationalisation deviennent deux axes stratégiques essentiels en faveur du renouvellement et du développement de la recherche et de l’enseignement de la philosophie et des autres sciences humaines, avec pour horizon un impact social effectif.

Plus d’infos sur le blog: https://lipm.hypotheses.org/

10-11.12.2021 ALTHUSSER: MATERIALISMOS E RECEPÇÕES LATINOAMERICANAS

 

INSCRIÇÕES gratuitas: https://forms.gle/A73wdNdNdTFRovtDA

Prazo: 08/12/2021

O link para o google meet será enviado poucas horas antes aos inscritos. Um certificado será emitido com no mínimo de 75% de presença confirmada

Contato: congresso.fil.ufes@gmail.com

Org. Marco Rampazzo Bazzan / Natália Romé / Diego Lanciote

Red Latinoamericana de Estudos Althusserianos (RELEA) / Laboratório Interdisciplinar de Estudos e Pesquisas Materialistas (LPM)/  Groupe de Recherches Matérialistes  (GRM)/ Grupo de Pesquisa Imaginários e Éticas nas Filosofias Moderna e Contemporânea (UFES)

Atividade do IV Congresso Internacional do PPGFIL da UFES

 

 

10 DEZ
14h00>17h30

14h00>15h15 
Lire Althusser au prisme de son spinozisme:  Le matérialisme dialectique comme théorie de la finitude
Jean Matthys (UCL/GRM)

15h30>17h30
Recepções de Althusser na América Latina
Mesa redonda com Luiz Eduardo Motta (IFCS-UFRJ), Marcelo Starcenbaum (UNLP), Marcelo Rodríguez Arraigada (UCH).

11 DEZ
14h00>18h00

14h00>15h45
Le Matérialisme politique de Louis Althusser
Table ronde autour du livre de Fábio Bruschi (Milano: Mimesis, 2020)
Avec: Fabio Bruschi (UCL/GRM), Irene Viparelli (Uevora), Fabrizio Carlino (GRM).

16h00>18h00
Trabalhos e projetos em andamento (LPM)
Comunicações dos membros do LPM.
Debatedores: Irene Viparelli, Fabrizio Carlino, Diego Lanciote.

 

 

2-4.12.2021 MÉMORIAS E DESAFIOS DA EDUCAÇÃO E DO PODER POPULAR

INSCRIÇÕES gratuitas: https://forms.gle/ih6HBDRyfKXgCGPH7

Prazo: 29/11/2021

O link para o google meet será enviado poucas horas antes aos inscritos. Um certificado será emitido com no mínimo de 75% de presença confirmada / Contato: congresso.fil.ufes@gmail.com

Org. Marco Rampazzo Bazzan / Pamela Soto / Cecilia Cortés Rojas/ Priscila Chaves / Fernanda Novaes Gomes da Silva Tomazinho

Centro de investigación para la Educación Inclusiva (Pontificia Universidad Católica de Valparaíso) / Centro de investigación del pensamiento iberoamericano (Universidad de Valparaíso) / Universidade do Oeste de Santa Catarina (Unoesc) / Laboratório Interdisciplinar de Pesquisas e Estudos Materialistas (LPM/ UFES) /  Groupe de Recherches Matérialistes (GRM)

Atividade do IV Congresso Internacional do PPGFIL da UFES.

Programa:

02 DEZ
14h30>17h30

Memórias politicas e desafios sociais da educação popular entre Chile e Brasil

Reflexões e debates 100 depois do nascimento de Paulo Freire

14h30 às 14h40
Abertura
Prof. Dr Osvaldo Fernández, Dir CEPIB/UV, Prof. Dr, Marcelo M. Barreira, Coord. PPGFIL-Prof/UFES

14h45 às 16h00
Mesa 1:  Memória Política e Educação Popular
Debatedores: Prof. Dr. Antônio Vidal (UFES) / Profa Dra. Leticia Arancibia. (Escuela de Pedagogia/ PUCV)

16h15 às 17h30
Mesa 2: Educação Popular hoje: desafios sociais para Brasil e Chile 
Profa Dra Silvia Redón Pantoja. (EduInclusiva/PUCV) / Profa Dra Fernanda dos Santos Paulo (PPEd/UNOESC)

03 DEZ
14h00>16h00

A memória obstinada do outro 11 de setembro

Debate a partir do 11.09 de Ken Loach e a Memoria Obstinada de Patricio Guzmán

Prof. Dr. Ignacio Del Valle Dávila (Unila\Unicamp) & Marco Rampazzo Bazzan (LPM/UFES)

04 DEZ
14h00>17h00

Os espectros do poder popular

Apresentação dos trabalhos do Seminário Poder popular (LPM-GRM)

Fabrizio Carlino (GRM), Marco Morra (Unior), Pamela Soto (EduInclusiva/PUCV.), Braulio Rojas (U. Playa Ancha), Emiliano Zanelli (GRM)

Parution Cahiers du grm 18 2021

Critique de l’expérimentation:
paradigmes politiques et technologies gouvernementales

 
Edited by Andrea Cavazzini and Alain Loute
Au début de la crise sanitaire en 2020, des mots tels qu’« expérimentation » ou « expérimenter » ont été parmi les plus fréquemment utilisés pour essayer de saisir le sens des événements et pour envisager des réactions possibles. De l’enseignement au tourisme, du travail à la santé, l’épidémie semble avoir déverrouillé toutes les sphères de la société, en restituant aux acteurs situés l’initiative et la responsabilité, en les forçant à « réfléchir ensemble » et à s’écarter des sentiers battus.
Pourtant, le vocabulaire de l’expérimentation peut résonner d’une manière plus inquiétante, pour peu qu’on se rappelle qu’une expérimentation peut impliquer une différence très marquée entre les positions active et passive – entre l’action de l’expérimentateur, d’une part, et, de l’autre, le matériau « expérimentable », voire les cobayes. L’hypothèse de ce Cahier du GRM est que ce double visage du mot « expérimentation » – incitation à l’initiative ou à l’auto-organisation locale et manipulation illimitée d’objets inertes – ne se révèle à l’occasion de la crise épidémique que parce qu’il était déjà implicite dans un paradigme pratique et discursif reliant aujourd’hui les politiques publiques, les régimes de savoir et la réflexion sur l’action politique.

Parution: Università e Movimenti. Teorie e pratiche politiche dal ’68 all’oggi (Città del Sole, 2021).

A CURA DI MARCO MORRA, ANNA PIA RUOPPO, IRENE VIPARELLI, 
 
Relazioni di Fabrizio Carlino, Marco Rampazzo Bazzan, Andrea Cavazzini, Viola Carofalo, Carlotta Cossutta, Roberto Evangelista, Matteo Giardiello, Valentina Greco, Luca Lendaro, Raffaella Limone, Marco Morra, Andrea Pascale, Luca Scafoglio, Irene Viparelli, Emiliano Zanelli.
 
Una breve presentazione
 
Questo libro rappresenta una tappa di un percorso collettivo avviato nel 2018 che ha coinvolto ricercatori, studenti, attivisti, gruppi di ricerca e collettivi di diversa provenienza, in una comune riflessione sul rapporto tra “teoria” e “politica”. Partendo da questo comune interesse gli autori hanno provato ad interrogarsi sulle condizioni, le possibilità e le modalità di esistenza, nelle società neoliberali del XXI secolo, di un pensiero critico e delle sue dimensioni di autonomia e d’inerenza alla prassi sociale.
Il presupposto teorico di tale percorso è la consapevolezza che la crescente subordinazione del lavoro culturale e di ricerca a logiche produttivistiche e performative, nonché a criteri di finanziamento vincolanti e selettivi, e il restringimento del campo di programmazione autonoma delle istituzioni culturali e scientifiche hanno reso sempre più difficile l’esercizio sociale e critico del lavoro intellettuale.
Partendo da tale prospettiva, l’obiettivo di questo volume è quello di aprire un orizzonte di analisi che affronti il problema dell’articolazione riflessiva del “sapere” alle pratiche politiche e sociali, muovendosi tra università e movimenti, gruppi di ricerca e comunità politiche, ovvero in quei luoghi e in quegli spazi della produzione del sapere in cui il pensiero critico riesce a ibridarsi con le soggettività emergenti e svilupparsi dall’interno dei processi di soggettivazione, intesi come processi di riappropriazione autonoma del sapere e della politica da parte di attori non istituzionali e non detentori di potere.
Collocandosi in questo orizzonte, il testo offre una prima oggettivazione dei risultati del percorso fin qui delineato e affronta il legame tra le teorie e le prassi politiche in tre sezioni organiche che hanno come titolo TeorieGenealogie e Percorsi.
Nella prima sezione, dedicata alle teorie, Fabrizio Carlino, Luca Scafoglio e Irene Viparelli discutono le correnti della Teoria Critica, dell’operaismo e dell’althusserismo, prospettive teoriche che, tra gli anni Sessanta e Settanta del secolo scorso, hanno posto in modo radicale il problema del nesso specifico fra teoria e prassi.
La seconda, Genealogie, sviluppa un’analisi di pratiche specifiche come l’inchiesta e il mutualismo, il contropotere e il poder popular, che rendono effettiva l’articolazione del lavoro intellettuale alla prassi politica. Vi si raccolgono i contributi di Marco Rampazzo Bazzan, Andrea Cavazzini, Roberto Evangelista, Raffaella Limone e Andrea Pascale.
Percorsi, ultima parte del volume, presenta infine alcune esperienze di movimenti e gruppi che provano a ricostruire oggi il legame tra ricerca teorica e militanza, nella convinzione che la conoscenza sia un’arma fondamentale per la trasformazione dell’esistente. In particolare, questa parte è articolata in tre sotto-sezioni dedicate rispettivamente a “Traiettorie politiche”, “Femminismi: tra storia e sapere” e “Ricerca in congiuntura”.
Nelle sotto-sezioni “Traiettorie politiche” e “Ricerca in congiuntura” si sono presentati e discussi i percorsi di alcuni gruppi politici, come Potere al popolo, l’ExOpg – Je so pazz’ e il collettivo Catai, e di alcuni gruppi di ricerca e pratica universitaria come l’Unità di Ricerca sulle Topografie sociali (URiT) e il Groupe de Recherches Matérialistes (GRM), e ci si è soffermati su esperienze di soggettivazione che hanno attraversato l’ultimo decennio, segnato dalla crisi economica del 2008 e da un rinnovato slancio delle mobilitazioni sociali, ovvero su percorsi di riappropriazione del sapere e della politica dal basso, ai margini o dall’esterno delle istituzioni ufficiali.
Abbiamo chiesto a Marco Rampazzo Bazzan, Viola Carofalo, Andrea Cavazzini, Matteo Giardiello, Luca Lendaro ed Emiliano Zanelli di produrre resoconti ponderati delle loro esperienze, interrogandosi sul problema della funzione autonoma e critica del momento teorico o del lavoro intellettuale, dentro e fuori il mondo universitario, e in rapporto ai movimenti sociali o ai gruppi politici di cui sono o sono stati partecipi. Per quanto realizzata sotto forma di intervista di Andrea Cavazzini e Marco Morra ad Antonello Petrillo, Stefania Ferraro e Anna D’Ascenzio, anche la riflessione relativa allo URiT risponde alle medesima finalità degli altri contributi. Infine, la sotto-sezione dedicata ai Femminismi: tra storia e sapere vuole interrogare, con i contributi di Carlotta Cossutta e Valentina Greco, il “femminismo” come orizzonte storico di emancipazione e di rinnovamento teorico-politico.